Prenezle temps d’observer et de contempler votre environnement. Soyez alerte mais ne trahissez aucun empressement. Faites-vous confiance, le hasard n’existe pas, il n’y a que des signes de synchronicitĂ©. En formulant clairement en vous ce que vous attendez et dĂ©sirez, vous serez plus enclin Ă  saisir ces tĂ©moignages de bienveillance. La question du mal fait partie de ces questions universelles qui habitent le cƓur de l’homme depuis la nuit des temps. D’oĂč le mal vient-il ? Pourquoi existe-il ? Le diable est-il un mythe ou une rĂ©alitĂ© ? Toutes ces interrogations donnent lieu Ă  de nombreuses ne devons pas nĂ©cessairement craindre le diable, mais il est bon de comprendre qui il est. Cela me rappelle une anecdote de mon enfance. Je devais avoir 8 ou 9 ans, lorsqu’une fille que j’aimais beaucoup Ă  l’école primaire me confronta pour la premiĂšre fois Ă  la question du diable. Un jour, pour l’impressionner Ă  la rĂ©crĂ©ation, je lui avais dĂ©crit ma propre thĂ©orie Le diable ne pouvait pas exister, car Dieu n’aurait pas créé quelque chose de mauvais, or Dieu Ă©tait Ă  l’origine de toutes choses ». Je m’attendais Ă  ce qu’elle encense ce raisonnement sans faille. Mais je n’eus droit qu’à une rĂ©plique cinglante Alors la Bible ne dit pas la vĂ©ritĂ© ! Tu penses que la Bible raconte des mensonges ? » Je ne rĂ©pondis rien. Elle enchaĂźna Dieu t’a créé toi, et tu commets des pĂ©chĂ©s. C’est parce qu’il t’a créé libre. Les anges aussi ont Ă©tĂ© créés libres. Et Satan s’est servi de cette libertĂ© pour commettre le mal. » VoilĂ  comment, en deux-trois phrases, elle m’avait clouĂ© le bec. Car elle avait mis Ă  mal quatre fausses thĂ©ories sur le diable, qui sont pourtant trĂšs en vogue encore aujourd’hui. PremiĂšre thĂ©orie Le diable n’existe pasLe diable fait en sorte qu’on croie qu’il n’existe pas, mais c’est un leurre. Si l’on en croit la Bible, l’Église catholique mais aussi les principales religions ou encore de nombreuses Ɠuvres artistiques, le diable existe bel et bien. Les dĂ©mons sont mentionnĂ©s dĂšs l’Ancien Testament. Dans le rĂ©cit de la CrĂ©ation, le diable est dĂ©jĂ  prĂ©sent sous la forme du serpent qui, par ses paroles tentatrices, pousse Eve Ă  rompre son amitiĂ© avec Dieu. Au fil de l’Ancien Testament, trois noms de dĂ©mons sont citĂ©s Lucifer, AsmodĂ©e et Satan. Nous apprenons donc qu’il n’y a pas qu’un dĂ©mon, mais plusieurs anges qui ont dĂ©cidĂ© de se dĂ©tourner de aussi Cette priĂšre que le diable dĂ©testeDans le Nouveau Testament, le diable est toujours bien prĂ©sent. Le combat contre les dĂ©mons est au cƓur de la mission du Christ. En effet, la premiĂšre lettre de Jean le dit clairement C’est pour dĂ©truire les Ɠuvres du diable que le Fils de Dieu s’est manifestĂ©. » 1 Jn 3, 8 Dans l’Évangile de Matthieu il est dit On lui amena tous ceux qui souffraient, atteints de maladies et de tourments de toutes sortes possĂ©dĂ©s, Ă©pileptiques, paralysĂ©s. Et il les guĂ©rit. » L’ÉvangĂ©liste Ă©tablit une diffĂ©rence entre les Ă©pileptiques, touchĂ©s par la maladie, et les possĂ©dĂ©s, victimes du dĂ©mon. Le diable est donc Ă  l’Ɠuvre depuis la crĂ©ation, et continue Ă  l’ĂȘtre aujourd’hui, comme en tĂ©moignent ces paroles du pape François en dĂ©cembre dernier Autour de nous, il suffit d’ouvrir un journal. Nous voyons que la prĂ©sence du mal existe, le diable agit. » Alors, qu’est-ce que le diable ? Pour le pape, ce n’est pas une chose diffuse. C’est une personne. » Mais quel genre de personne ? DeuxiĂšme thĂ©orie Le diable est l’opposĂ© de Dieu Pour les catholiques, il n’y a pas deux forces qui s’opposent dans l’univers, d’un cĂŽtĂ© le bien et de l’autre le mal. Non, il n’y a qu’une seule et unique force celle du bien, le Dieu Tout-Puissant, crĂ©ateur de toute chose, y compris du diable. Ce diable, d’oĂč vient-il ? Pourquoi Dieu l’a-t-il créé ?Voici les explications que l’on peut trouver dans le Compendium du CatĂ©chisme de l’Église catholique Satan et les autres dĂ©mons, dont parlent la Sainte Écriture et la Tradition de l’Église, alors qu’ils Ă©taient des anges créés bons par Dieu, se sont transformĂ©s en mĂ©chants, car, par leur choix libre et irrĂ©vocable, ils ont refusĂ© Dieu et son RĂšgne, donnant ainsi naissance Ă  l’enfer. » n°74Lire aussi Le combat de saint Paul contre le diableDieu est amour, et il a créé l’univers par amour. Toutes les crĂ©atures sont la preuve de cet amour, mais seulement deux d’entre elles peuvent aimer Dieu en retour les hommes et les anges. Les anges sont des crĂ©atures spirituelles qui ont comme nous une raison et une volontĂ©. Ils ont la capacitĂ© de penser et de choisir. Ils peuvent donc aimer. Ils peuvent aussi choisir de ne pas aimer. Les anges vivent en dehors du temps, dans l’éternitĂ©. S’ils font le choix de ne pas aimer, c’est un choix pour l’éternitĂ©. Ils quittent l’éternitĂ© du ciel et sont pour toujours Ă©loignĂ©s de Dieu, ce qui est synonyme d’enfer. TroisiĂšme thĂ©orie Le diable cherche Ă  nous possĂ©derÀ la vue de certains films, on pourrait croire que le diable cherche Ă  tout prix Ă  possĂ©der les hommes. En rĂ©alitĂ©, ce n’est pas le cas. Oui, le diable existe et oui, il souhaite que l’on soit damnĂ© en enfer. Mais il ne vise pas de personnes en particulier. En rĂ©alitĂ©, nous lui sommes gĂ©nĂ©ralement indiffĂ©rents. Il ne nous aime pas, certes, mais il ne nous hait pas non plus. Celui qu’il dĂ©teste, c’est Dieu, et c’est lui qu’il cherche Ă  blesser Ă  travers nous. Il sait Ă  quel point Dieu nous aime, et il sait qu’en nous faisant du mal, il fait du mal Ă  Dieu. Bien sĂ»r, les phĂ©nomĂšnes de possession existent. On distingue gĂ©nĂ©ralement quatre stades les stades les moins forts sont l’infestation d’un endroit ou d’un objet et l’obsession qui donne lieu Ă  des tentations trĂšs fortes. Le stade de l’oppression est plus dĂ©licat la personne est sujette Ă  des attaques extĂ©rieures des forces du mal. Le cas le plus rare et le plus critique est la possession complĂšte d’un individu. Le diable prend alors le contrĂŽle de la conscience de la personne. Il peut utiliser sa bouche pour parler et faire bouger ses membres pour commettre des actes de lutter contre ces phĂ©nomĂšnes et s’en libĂ©rer, il existe trois formes d’exorcismes. PremiĂšrement, les priĂšres d’exorcisme dites dans la liturgie au cours des rites baptismaux. DeuxiĂšmement, l’exorcisme privĂ© », dit aussi exorcisme simple. Il tient en ces deux mots ArriĂšre, Satan. » Sainte Faustine avait pour habitude de repousser le diable en faisant un signe de croix. Le troisiĂšme exorcisme est l’exorcisme solennel, dit aussi exorcisme public ou grand exorcisme ». Ce rituel ne s’exerce qu’avec une autorisation spĂ©ciale de l’évĂȘque. C’est un processus qui est pris trĂšs sĂ©rieux. Ainsi, les exorcistes opĂšrent seulement auprĂšs de victimes ayant subi au prĂ©alable des examens mĂ©dicaux et psychiatriques et chez qui toute hypothĂšse de maladie mentale a Ă©tĂ© aussi Le cas de dĂ©livrance le plus Ă©mouvant pour un exorcisteLes phĂ©nomĂšnes de possession sont donc bien rĂ©els. Mais ils sont trĂšs rares. Et gĂ©nĂ©ralement, ils ne se produisent pas par hasard. Dans la majeure partie des cas, ils touchent des personnes qui s’intĂ©ressent aux pratiques occultes, qui s’essayent au spiritisme, en utilisant par exemple des ouijas comme dans la scĂšne inaugurale du film L’Exorciste. Un conseil n’entrez pas dans cet engrenage. Pourquoi la possession est-elle un phĂ©nomĂšne rare ? Parce que le diable sait qu’il n’en a pas besoin pour nous atteindre. Par nos pĂ©chĂ©s, nous nous mettons Ă  sa disposition de maniĂšre beaucoup plus simple. Le pĂ©chĂ© mortel est une possibilitĂ© radicale de la libertĂ© humaine comme l’amour lui-mĂȘme. [
] il cause l’exclusion du Royaume du Christ et la mort Ă©ternelle de l’enfer, notre libertĂ© ayant le pouvoir de faire des choix pour toujours, sans retour », nous dit le CatĂ©chisme n°1861.Le diable ne veut donc pas prendre possession d’une personne en particulier, mais il veut s’assurer que la personne n’appartienne pas Ă  Dieu. Pour parvenir Ă  ses fins, il emploie le moyen le plus simple la soumettre Ă  des tentations pour qu’elle commette des pĂ©chĂ©s. QuatriĂšme thĂ©orie Le diable peut faire de nous quelqu’un »Le diable a cette capacitĂ© Ă  faire miroiter monts et merveilles. Tant de personnes vendent leur Ăąme au diable pour devenir riches, puissantes, cĂ©lĂšbres
 pour devenir quelqu’un ». Mais les victimes de ces manipulations le savent le diable fait de belles promesses, mais Ă  la clĂ© ce ne sont que regrets et mĂ©pris de soi
Lire aussi L’heure du diable existe-t-elle vraiment ?Pour le pape François, le plus simple est de ne pas entrer en contact avec lui Il faut Ă©viter de dialoguer avec Satan. Si tu commences Ă  dialoguer avec lui, tu es perdu. Il est plus intelligent que nous, et il peut nous retourner le cerveau », confiait-il ainsi dans un entretien tĂ©lĂ©visĂ© en dĂ©cembre dernier. Car le diable promet des plaisirs faciles, mais il ne tient jamais ses promesses. Il n’en a pas les capacitĂ©s. Seul Dieu le peut, car il nous aime et sait ce dont nous avons besoin.
Rouletterusse Le hasard n'existe pas : simplement, nous ne sommes pas assez intelligents pour comprendre tous les liens de causalitĂ©. Le hasard n’est qu’une illusion ; nous vivons dans un
Le hasard n'existe pasLa conscience systĂ©mique du coach Performance CoachLe hasard n'existe pas TĂ©lĂ©chargez la page au format PDF En premier lieu, je remercie ICF Espagne qui m’a permis de rĂ©aliser cet Ă©vĂšnement sur Le Hasard n’existe pas » le mercredi 22 mai 2013, lors de la 2Ăšme semaine Mondiale du coaching organisĂ©e par ICF personnes ont participĂ© il y avait quelques dirigeants de mon client REPSOL, des Ă©lĂšves de l’école de formation MĂ©tasystĂšme d’Alain Cardon que j’anime en Espagne et bien sĂ»r des coachs, des personnes qui veulent devenir coach et des curieux du pour habitude de dire Ă  mes clients qu’ils soient Ă©lĂšves ou entreprises s’il se passe quelque chose, c’est justement pour quelque chose. Comment ce qui se passe, ce qui vous arrive peut-ĂȘtre une ressource, un catalyseur pour toi client individuel ou Ă©quipe ou organisation ? » C’est ainsi que beaucoup me disent Claude avec ce type de raisonnement cela veut dire que pour toi le hasard n’existe pas ? ». Effectivement, c’est ma croyance, celle de notre Ă©cole et c’est ce que j’ai voulu aborder durant cet atelier de travail et cet article. Il est vrai que le thĂšme du hasard me suit et me hante depuis bien 2h de 20h Ă  22h, les 87 participants ont rĂ©alisĂ© des exercices et dans cet article, je vous fais part de mes commentaires et explications. QUE DISENT LES GRANDS CHERCHEURS DE CE MONDE SUR LE HASARD? L’ĂȘtre humain aime bien ĂȘtre rassurĂ©, trouver des mots et quand il ne trouve pas une rĂ©ponse rationnelle de cause Ă  effet, il parlera de probabilitĂ©, de consĂ©quence, de synchronicitĂ©, de y a 1000 ans, le hasard Ă©tait la rĂ©ponse aux Ă©vĂšnements inexplicables. Aujourd’hui, on sait trĂšs bien donner une explication simple et logique de cause Ă  effet. Il suffit de citer les progrĂšs que l’on a fait en mĂ©decine ou les progrĂšs technologiques. Peut-ĂȘtre que dans 1000 ans nous donnerons des explications Ă  des effets qu’aujourd’hui nous avons appelĂ©s hasard.. Trois grands chercheurs / auteurs disent du hasardLouis Pasteur "Le hasard ne favorise que les gens bien prĂ©parĂ©s." Albert Einstein "Je ne peux pas croire que Dieu joue aux dĂ©s avec le monde."Victor Hugo "Le hasard bavarde, le gĂ©nie Ă©coute."C’est vrai que ces citations font rĂ©flĂ©chir. Commentaires Si notre cadre de rĂ©fĂ©rences n’était pas limitant le hasard existerait-il?Si finalement, cela n’était dĂ» qu’à une simple question de temps, de patience, de technologie, de connaissance ainsi un jour nous serons capable de donner une explication Ă  tout le hasard existerait-il?Si le hasard n’existait pas notre vie ne serait-elle pas ennuyeuse?Et si, in fine, cette ignorance sur le hasard Ă©tait le piment de notre vie? Et si une fois de plus le hasard faisait bien les choses ?Toutefois, il me semble qu'il existe des faits, des effets, que nous appelons le hasard et en s’y penchant plus sĂ©rieusement, en Ă©coutant ces faits, ces effets, en les rendant vivant, ils peuvent ĂȘtre une ressource fantastique pour nos vies et pour nos clients. En coaching systĂ©mique, nous parlons de conscience systĂ©mique. EXERCICE CHOISIR UNE PERSONNE Lors de cette confĂ©rence-atelier, Ă  partir de simples exercices de la vie de tous les jours, nous avons expĂ©rimentĂ© que peut-ĂȘtre les simples causes Ă  effet de la vie de tous les jours ne sont pas toujours le fruit du premier exercice consistant Ă  choisir une personne. L'exercice a dĂ©butĂ© avec l'Ă©noncĂ© suivant nous allons expĂ©rimenter comment fonctionne le hasard. Cet exercice, vous devez le faire avec quelqu'un que vous ne connaissez pas et comme nous sommes suffisamment nombreux, je vous invite Ă  ne pas choisir une personne qui se trouve Ă  votre droite, Ă  votre gauche et mĂȘme juste devant vous ou juste derriĂšre vous ».Les gens se sont choisis et le premier exercice Ă©tait le chaos liĂ© au fait que 87 personnes se sont levĂ©es, ont fait du bruit, se sont choisies sans savoir ce qui allait se passer ensuite, avec un seul objectif ĂȘtre face Ă  une personne », il est facile de se poser ce genre de questions Qui a choisi qui?Qui a choisi qui en premier ?Qui aurait aimĂ© ĂȘtre choisi en premier ?Qui a Ă©tĂ© passif?Qui a choisi un homme?Qui a choisi une femme?Qui a choisi un plus ĂągĂ©? un plus jeune?Qui reste seul?Qui en fin de compte est frustrĂ© parce qu'il n'a pas choisi qui il voulait?Qui en fin de compte est heureux de son choix?Qui a choisi quelqu’un qui finalement ressemble Ă  son compagnon, lui rappelle quelqu’un qu’il aime ?Qui est retournĂ© avec l’autre Ă  sa place de dĂ©part comme si le siĂšge Ă©tait sa propriĂ©tĂ©?Qui peut percevoir dans ce premier choix un scĂ©nario rĂ©pĂ©titif ou du dĂ©jĂ  vu ou fait dans sa vie ?...?A partir de ces questions, des rĂ©ponses du public, on peut facilement classer les rĂ©ponses en trois catĂ©gories Les actifs qui vont passifs qui se laissent choisirLes rĂ©servĂ©s qui ont attendu la fin pour choisir celui qui reste ou pour rester seul ou peut-ĂȘtre se poser en observateur. Commentaires Il est important de prĂ©ciser que l’enjeu n’est pas de dire qu’une catĂ©gorie est meilleure qu’une autre car le public a mĂȘme prĂ©cisĂ© que selon l’enjeu confĂ©rence, travail prospection..., certains se seraient transformĂ©s en actif ou passif ou rĂ©servĂ©. Cet apport du public Ă©claire dĂ©jĂ  que selon le contexte nous aurons une position diffĂ©rente et donc je ne ferai pas les choses par mĂȘme temps, nous nous sommes amusĂ©s Ă  extrapoler que l'actif est peut-ĂȘtre une personne qui a dĂ©jĂ  vĂ©cu cette situation dans sa vie, qu’il a trĂšs mal vĂ©cu le fait de se retrouver seul et inconsciemment ou consciemment il a pris la dĂ©cision d’ĂȘtre actif. Personnellement, je me sens bien dans ce mĂȘmes choses sont extrapolables pour la catĂ©gorie des passifs ou des tout cas, nous avons lĂ  une premiĂšre option quand quelqu’un dit c’est rigolo, on s’est retrouvĂ© cĂŽte Ă  cĂŽte par hasard », peut-ĂȘtre que ce n’est pas tant par y a une fusion de sociĂ©tĂ©s, vous pouvez Ă©galement dĂ©finir un parallĂšle avec les entreprises qui a Ă©tĂ© actif pour acheter l’autre ou qui a Ă©tĂ© passif pour se laisser acheter. J'ai eu l’occasion de rĂ©aliser un exercice de ce type lors d’une fusion d’entreprise, le collectif prend conscience que les deux se sont choisis et donc qu’il n’y a en a pas un plus fort que l’autre. Les jeux pervers nĂ©gatifs de pouvoir tombent et les jeux positifs de cohĂ©sion et de performance se mettent au vert. Les diffĂ©rences de chacun et des sociĂ©tĂ©s deviennent des ressources pour le collectif et non plus des freins. Par rapport Ă  la confĂ©rence, c’était le moment de passer au deuxiĂšme exercice. Les gens Ă©taient assis face Ă  face, certains ont changĂ© de place comme si pour ĂȘtre en alliance ils devaient apporter une autre modification ou ĂȘtre en terrain neutre. En tout cas, chaque binĂŽme avait construit son coaching systĂ©mique nous avons l’habitude de dire que quand un coach et face Ă  son client que celui-ci soit individuel, Ă©quipe ou une organisation, ils forment un systĂšme. Le coach fait partie du deuxiĂšme exercice est donc centrĂ© sur le systĂšme qu’ils ont construit, sachant maintenant que nous sommes en train de prendre conscience que ce systĂšme ne s’est certainement pas construit par hasard. EXERCICE QUELS SONT VOS POINTS EN COMMUN ? Chaque binĂŽme avait un quart d'heure pour Ă©changer afin de voir s’ils avaient des points communs. Trois personnes sont arrivĂ©es en retard, je leur ai demandĂ© de travailler un quart d'heure, j'ai demandĂ© s’ils ont trouvĂ© des points communs entre eux. 100 % des binĂŽmes ont trouvĂ© des points communs. Certains ont bien voulu commenter en public et d’autres m’ont commentĂ© Ă  la fin de la confĂ©rence Deux personnes du mĂȘme binĂŽme Ă©taient Argentins => il y avait seulement 4 Argentins dans la salle, c'est-Ă -dire moins de 5% de la personnes qui ne se connaissaient pas avaient travaillĂ© Ă  des moments diffĂ©rents de leur vie dans la mĂȘme sociĂ©tĂ© => il y avait trois autres personnes qui avaient travaillĂ© pour la mĂȘme sociĂ©tĂ©, c'est-Ă -dire moins de 5% de la personnes se sont rendus compte qu’elles avaient la mĂȘme peur et que celle-ci les hantait et qu’ils ne savaient pas pourquoi ils ont eu envie d’en parler de mes Ă©lĂšves de l’école MetasystĂšme a choisi un homme sans savoir que c’était le mari d’une autre Ă©lĂšve de l’école et lui aussi ne savait pas qui elle Ă©tait. Les trois qui sont arrivĂ©s en retard avaient la mĂȘme raison d’ĂȘtre ici ils venaient chercher de l’information car depuis plusieurs semaines ils ont pris la dĂ©cision de se former au mĂ©tier de depuis l’estrade, j’avais une position pour pouvoir voir d’autres points communs des binĂŽmes qui reprĂ©sentaient moins de 5% de la salle Deux femmes avaient les cheveux trĂšs longsDeux hommes avec une cravate de couleur viveUn homme et une femme pratiquement de la mĂȘme taille Ă©taient habillĂ©s tous les deux en blanc. Commentaires Tout d’abord, nous savons que dans nos pays occidentaux, si nous mettons deux personnes ensemble on arrivera toujours Ă  trouver un point en commun. En mĂȘme temps, l’enjeu ici est biaisĂ© puisque justement l’enjeu c’est de trouver des points communs donc nous en trouverons. Toutefois, ce qui est Ă©trange ici est que les personnes qui ont exprimĂ©es leurs points communs se retrouvent sous la loi statistique appelĂ©e les fluctuations alĂ©atoire d'Ă©chantillonnage » que l’on appelle aussi par opposition Ă  la loi des 80/20 de Pareto, la loi des 95% / 5% pour information, appelĂ© ainsi c’est faux mathĂ©matiquement parlant. Toutefois, dans ces cas, les statisticiens en arrivent Ă  la conclusion suivante l’absence de preuve n'est pas la preuve d' pouvions passer Ă  l’exercice suivant EXERCICE LA CONCIENCE SYSTEMIQUE Le systĂšme Ă©tait créé, la relation Ă©tait créé, nous pouvions entrer plus en profondeur afin d’une part de prendre conscience de sa propre conscience systĂ©mique et de voir comment elle pouvait ĂȘtre une ressource pour lui-mĂȘme et/ou pour l’ avons fait cet exercice en quatre temps Cliquez ici pour lire un article sur la Conscience systĂ©mique Le premier temps a durĂ© 15 minutes, au cours de laquelle chacun pouvait expliquer Ă  l’autre sa prĂ©occupation principale ou sa prĂ©occupation du moment. AprĂšs ces 15 minutes, un nouvel Ă©change a eu lieu sur les prĂ©occupations de chacun du binĂŽme certains ont rĂ©alisĂ© qu’ils avaient la mĂȘme prĂ©occupation, d'autres, que l'une des prĂ©occupations de l’un Ă©tait la solution de l'autre ou que l'un d'eux avait dĂ©jĂ  rĂ©solu cette prĂ©occupation de l'autre pour lui-mĂȘme. Commentaires Ici nous entrons dans une ouverture de notre cadre de rĂ©fĂ©rence du coaching effet, chacun est venu assister Ă  une confĂ©rence, celle-ci permet de travailler avec une autre personne, de voir que ce n’est pas forcĂ©ment le hasard qui nous a mis ensemble car il y a des points communs avec cette personne et qu’en plus il existe une relation entre eux et leurs prĂ©occupation principale ou du moment. À ce stade, il est difficile de parler de statistiques ou la probabilitĂ©. Nous sommes plus confrontĂ©s Ă  la synchronicitĂ© de Carl Gustav Jung. D'autres l'appellent Ă©galement la rencontre de l'inconscient de deux la physique quantique commence Ă  expliquer certains de ces faits, on commence Ă  avoir des explications du hasard qui n’en n’est donc plus grĂące Ă  l’avancĂ©e de la physique quantique et des neurosciences. Le second temps le silence J'ai demandĂ© Ă  chacun de se mettre en silence et de rĂ©flĂ©chir Ă  nouveau sur le dialogue qu'il avait eu avec son partenaire pour voir si, pendant qu'il Ă©tait en train de parler ou d’écouter, lui Ă©tait venu une image, une expression, un sentiment, un leur ai demandĂ© de rĂ©flĂ©chir et de choisir le point qui lui semblait important de dire Ă  l’autre. Commentaires Le silence dans le coaching systĂ©mique est la Fondation pour le dĂ©veloppement de la conscience systĂ©mique du coach. Le troisiĂšme temps 15 minutes pour chacun, pour dire Ă  l’autre ce qui lui paraĂźt important de lui dire. Le quatriĂšme temps, en public certains binĂŽmes ont partagĂ© cette derniĂšre expĂ©rience avec le reste de la salle Une femme a expliquĂ© que son partenaire lui a commentĂ© que quand elle lui a expliquĂ© sa prĂ©occupation, celui-ci se voyait coincĂ© avec son canoĂ« et a dĂ» quitter le bateau et le pousser. Elle a rajoutĂ© maintenant, je sais ce que je dois pousser pour sortir de mon problĂšme car je tourne en rond depuis trop longtemps. » Un homme a visualisĂ© un bleu particulier qu’il a vĂ©cu avec l’eau de mer, cette image a permis aux deux de trouver des pistes de femme a dit qu’elle sentait une forte pression dans son corps quand l’autre lui a parlĂ© de sa propre prĂ©occupation. Ce qui est bizarre c’est que cette pression qui venait lĂ  sans aucun motif car elle n’avait aucun lien avec cette personne ni aucune raison d’ĂȘtre touchĂ©, l’a aidĂ© Ă  se dĂ©tendre dans sa propre prĂ©occupation et l’autre dit mieux relativiser son problĂšme et le voit sous un autre angle ».4 autres binĂŽmes ont exprimĂ© que cet Ă©change d’images, ou d’expression ou de sensation leur donne des pistes d’option par rapport Ă  leur enjeu. Commentaires Le hasard fait bien les venons, nous crĂ©ons un systĂšme par hasard et par hasard certains trouvent des solutions en rapport avec ses propres coaching systĂ©mique, nous appelons cela les rĂ©sonnances systĂ©miques. Toutefois, je vous invite Ă  la grande prudence et Ă  toute votre humilitĂ©. En effet, ce n’est pas parce qu’il se passe quelque chose dans le systĂšme que c’est forcĂ©ment une piste pour le client, toutefois, partager ce qui se passe avec votre client et lui laisser le choix d’en faire ce qu’il en veut est parfois une piste bien plus exploratrice pour le client final. Quant Ă  la confĂ©rence certains ne se sont pas rendus compte de liens car tout simplement il n’y avait pas de rĂ©sonnance ou peut-ĂȘtre qu’ils le verront plus tard. A ma grande surprise nombreux Ă©changĂšrent leur coordonnĂ©es, beaucoup restĂšrent pour parler. A 22h45, nous Ă©tions encore quelques-uns Ă  commenter ce qui c’était passĂ©. CONCLUSIONS Aujourd'hui, a tout cela, nous lui donnons le nom de conscience systĂ©mique. La conscience systĂ©mique, se sont des synapses qui sont créés ou dĂ©veloppĂ©s dans notre cerveau. Si nous regardons des enfants agir, nous pouvons constater qu’ils agissent souvent avec cette conscience, je pense que nous l’avons oubliĂ©e. J'ai terminĂ© la confĂ©rence en donnant trois exemples de comment cette conscience systĂ©mique a permis Ă  des clients de dĂ©velopper des pistes et de mettre en place des plans d’actionsLors d'une sĂ©ance de coaching, alors que l’équipe aborde un nouveau thĂšme sur la gestion des stocks de la PME », le coach systĂ©mique sent une pression que ni lui ni l'Ă©quipe n’a l’habitude d’avoir. En raison de cette pression, il regarde tout le monde et se rend compte que juste Ă  ce moment-lĂ , tout le monde regarde ailleurs, seule une personne regarde le centre. Le coach systĂ©mique dit Ă  cette personne si vous aviez quelque chose d'important Ă  dire pour l’équipe et vous savez que tout le monde, y compris le PDG, vont vous Ă©couter sans vous juger, qu’est-ce qu’il est important de dire pour permettre Ă  l’entreprise d’avoir une gestion de stock bien au-delĂ  de votre objectif ? ». La personne a parlĂ© pendant un long moment, personne ne l’a interrompue. S’en est suivi des Ă©changes, ils ont pris la dĂ©cision la plus importante pour permettre Ă  la PME de sortir de la crise. Le hasard n’existe pas, ces regards diffĂ©rents de d’habitude, cette pression diffĂ©rente de d’habitude ne sont pas venus lĂ  par hasard et le coach Ă©tait lĂ  avec eux pour quelque dirigeant est dans une impasse face Ă  son enjeu, son coach systĂ©mique lui a posĂ© une question. Le dirigeant est dans son silence cherchant des pistes, des options et en mĂȘme temps ne semble pas trouver. Au mĂȘme instant, Ă  l’extĂ©rieur de la salle, dans le couloir, une personne frappe Ă  une autre porte avec insistance. Ce tambourinage ne perturbe pas le coach systĂ©mique, mais le client lĂšve les yeux, il fait une gestuelle en souriant. Le coach systĂ©mique se rend compte de cette synchronicitĂ© et lui dit Je ne sais pas si ça a un lien mais j’ai envie de te poser une question qui peut ĂȘtre stupide par rapport Ă  ton enjeu qui dois-tu appeler ? » Le client re-rentre dans son silence, celui-ci est bien plus profond. Au bout d’un moment, il regarde le coach et lui dit Quel idiot!, je veux le rĂ©soudre seul. Mais dans ce cas, je dois aller voir Untel et ensemble, nous obtiendrons plus loin et plus vite ». Le coach systĂ©mique accompagne un comitĂ© de direction d’une grande sociĂ©tĂ©. Au cours du coaching et Ă  partir de ce que dit le CODIR, le coach, ne sait pas pourquoi, lui vient l’image de son arriĂšre-grand-mĂšre. Pour information, il n’a que de trĂšs vague souvenirs de son arriĂšre-grand-mĂšre, car il Ă©tait un jeune enfant, il n’avait certainement pas pensĂ© Ă  elle depuis peut-ĂȘtre 20 ou 30 ans. Il voit son arriĂšre-grand-mĂšre derriĂšre la fenĂȘtre et le mot isolĂ©e » lui vient en mĂȘme temps. Il ne sait pas pourquoi, cette image lui est venue, mais il a saisi et pose la question avec humour Ă  l’équipe car cette image l’amuse Qui doit sortir de son isolement dans votre entreprise? » La question a eu un effet choc car il s’est créé un grand silence et l’un des dirigeants a dit NOUS ». L'Ă©quipe a pris des dĂ©cisions qui permettent un changement culturel en dĂ©veloppant des valeurs comme la flexibilitĂ©, la transparence, la responsabilitĂ©, le CODIR a placĂ© le client final au centre de toutes les dĂ©cisions et les collaborateurs ont amĂ©liorĂ© leurs performances. Si vous aussi vous voulez dĂ©velopper votre conscience systĂ©mique et par la mĂȘme votre compĂ©tence de coach Pour permettre Ă  vos clients et Ă  vous-mĂȘme d’ĂȘtre plus efficace, Pour permettre Ă  vos clients de changer de cadre de rĂ©fĂ©rences Pour permettre Ă  vos clients de se donner de vĂ©ritables plans d’actions qu’ils mettrons en Ɠuvre, Si vous ĂȘtes coach, vous pouvez vous inscrire aux groupes de supervision qu’anime Claude Arribas sur Montpellier et Toulouse il reste quelques places en cliquant sur ce lien Deux Groupes de Supervision SystĂ©mique OrĂ©sentiel en occitanie et Distanciel en Zoom. Bien Arribas06 82 69 70 83
Doncpour moi, le résultat du tirage est bien du hasard. Le hasard existe. C'est un peu comme si on te demandais de choisir parmi deux boites laquelle contient un ballon et laquelle est vide. Il y a bien quelqu'un qui a la réponse: celui qui a rempli et fermé les boites.Mais toi, tu ne le sais pas. Ton choix se fera au hasard. Et si tu
1er Ă©tape de la rĂ©flexion Une vidĂ©o qui prĂ©sente une thĂ©orie de complot A chaque crise le nombre de thĂ©ories du complot augmente
 La crise actuelle, dans une pĂ©riode oĂč les rĂ©seaux sociaux jouent un rĂŽle important, voit le nombre de telles thĂ©ories augmenter de maniĂšre exponentielle. La vidĂ©o sous ce lien prĂ©sente une thĂ©orie de complot qui est inventĂ©e de A Ă  Z par des lycĂ©ens pour montrer et dĂ©crypter ses mĂ©canismes. TrĂšs instructif pour visualiser et Ă©changer avec des adolescents. 2e Ă©tape de la rĂ©flexion Un article dans l’hebdomadaire RĂ©forme » du 16 juillet 2020 Titre La mĂ©canique bien huilĂ©e du conspirationnisme » Auteur Louis FRAYSSE Citations Parler de complots’ n’a rien d’une aberration, car leur existence est avĂ©rĂ©e dans l’histoire’, relĂšve Julien Giry, chercheur en science politique Ă  l’universitĂ© de Rennes 1. En revanche, l’appellation thĂ©orie du complot’ me semble ĂȘtre un faux ami. Le propre d’une thĂ©orie scientifique est en effet d’ĂȘtre rĂ©futable, ce qui n’est pas le cas des thĂ©ories du complot oĂč tout est mensonge, sauf l’hypothĂšse centrale l’existence mĂȘme du complot. Je prĂ©fĂšre parler de conspirationnisme’, qui Ă©voque un systĂšme de pensĂ©e oĂč tout Ă©vĂ©nement peut ĂȘtre intĂ©grĂ© Ă  une sorte de mĂ©gacomplot universel.’ » Davantage que la construction longuement rĂ©flĂ©chie d’une critique, le conspirationnisme s’apparente plutĂŽt Ă  un rĂ©flexe interprĂ©tatif’, note AurĂ©lie Ledoux 1. En tĂ©moigne, pour ne prendre qu’un exemple, la rapiditĂ© foudroyante avec laquelle les thĂšmes complotistes apparaissent lorsque survient un Ă©vĂ©nement majeur. En janvier 2015, les premiĂšres rumeurs complotistes Ă©taient ainsi apparues sur Internet moins d’une heure aprĂšs la fusillade Ă  Charlie Hebdo – les conspirationnistes disposent donc d’un appareil rhĂ©torique prĂȘt Ă  ĂȘtre promptement mobilisĂ©. Le conspirationnisme, par ailleurs, ne laisse aucune place au hasard, avance la philosophe Il considĂšre que tout ce qui arrive possĂšde une signification cachĂ©e, qu’une regard perçant pourra atteindre.’ S’il n’y a pas de hasard, c’est que tout est intention. Les complotistes, rĂ©sume AurĂ©lie Ledoux, n’admettent pas qu’un Ă©vĂ©nement ait lieu indĂ©pendamment de la volontĂ©, gĂ©nĂ©ralement perverse, de quelques hommes tout-puissants. L’espĂšce humaine a une trĂšs mauvaise apprĂ©hension du hasard, on le voit avec les nombreux biais cognitifs dont nous sommes tous victimes, prĂ©cise LoĂŻc Nicolas. » Dans cet article le terme conspirationnisme » est utilisĂ© de maniĂšre presque synonyme de ce que nous appelons souvent une thĂ©orie du complot ». L’auteur explique dans le premier paragraphe pourquoi il prĂ©fĂšre ce terme. L’auteur explique que selon une thĂ©orie du complot, il n’y a pas de hasard. Tout ce qui nous arrive doit avoir une explication. Si elle n’est pas apparente, alors elle est secrĂšte on nous la cache ! et on l’invente ou selon les conspirationnistes on la rĂ©vĂšle. 3e Ă©tape de rĂ©flexion Dieu et le hasard Mettre une nappe en papier ou deux grandes feuilles de papier sur une table, avec deux citations Ă  commenter. On commente les citations selon la mĂ©thode du dialogue muet Ă©crit sa rĂ©action sur la nappe. On peut ensuite commenter les commentaires des autres bien sĂ»r en respectant leur point de vue, sans gros mots
. Les deux citations Albert EINSTEIN Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito ». Pour le chrĂ©tien, le hasard n’existe pas. Quelques points de rĂ©flexion Dans l’histoire, le hasard a Ă©tĂ© utilisĂ© en science et philosophie pour nier Dieu comme origine de notre vie et de celle du monde. Cette pensĂ©e n’est pas neutre c’est penser que le hasard fait les choses aussi belles qu’une terre qui tourne autour du soleil et a amenĂ© la complexitĂ© d’une vie humaine/animale
 En mĂȘme temps, n’oublions pas que la science ne peut avoir Dieu » comme prĂ©supposĂ© et explication et qu’elle doit baser ces thĂ©ories sur des choses qu’on peut vĂ©rifier. Le complotisme nie le hasard, mais ce n’est pas la mĂȘme chose que quand des chrĂ©tiens nient le hasard. Pour les premiers une source malveillante ou perverse nous cache des choses, tandis que pour des chrĂ©tiens qui disent que le hasard n’existe pas, c’est souvent pour dire qu’une source bienveillante est Ă  l’origine de ce qui nous arrive un Dieu d’amour. Le hasard ne peut pas devenir la raison pour laisser notre vie se dĂ©rouler sans se poser un minimum de questions. Le hasard n’exclue pas notre responsabilitĂ©. En tant que chrĂ©tiens nous refusons le hasard comme fatalitĂ© qui rĂ©gnerait sur notre vie. Dans ce qui nous arrive, nous cherchons plutĂŽt les signes de la prĂ©sence de Dieu. Dieu/hasard, source malveillante ou bienveillante c’est une façon de donner sens Ă  ce qui nous arrive et qu’on ne peut pas expliquer avec notre raison. 4e Ă©tape de la rĂ©flexion Le hasard dans la Bible 2 textes bibliques qui parlent de hasard JONAS 1 traduction NFC 1La parole du Seigneur fut adressĂ©e Ă  Jonas, fils d’AmittaĂŻ 2 LĂšve-toi, pars pour Ninive, la grande ville. Prononce des menaces contre elle, car sa mĂ©chancetĂ© est arrivĂ©e jusqu’à moi. » 3Et Jonas se leva
 pour fuir Ă  Tarsis, loin du Seigneur. Il se rendit Ă  Jaffa, oĂč il trouva un navire prĂȘt Ă  partir pour Tarsis. Il paya sa place et embarqua avec l’équipage pour aller Ă  Tarsis, loin du Seigneur. 4Mais le Seigneur lança un vent violent sur la mer. Il y eut une telle tempĂȘte que le navire sembla prĂȘt Ă  se briser. 5Les marins furent saisis de peur, chacun appela son propre dieu Ă  grands cris. Puis ils jetĂšrent le chargement Ă  la mer pour allĂ©ger le navire. Jonas, lui, Ă©tait descendu au fond du bateau, il s’était couchĂ© et dormait profondĂ©ment. 6Le capitaine du navire s’approcha de lui et l’interpella ainsi Que fais-tu lĂ  ? tu dors ? LĂšve-toi donc, appelle ton dieu au secours ! Il se souciera peut-ĂȘtre de nous, lui, et il ne nous laissera pas mourir. » 7Les marins se dirent entre eux Tirons au sort pour connaĂźtre le responsable du malheur qui nous arrive. » Ils tirĂšrent au sort et le sort tomba sur Jonas. 8Ils lui dirent alors Raconte, d’oĂč nous vient ce malheur ? Que fais-tu ici ? D’oĂč viens-tu ? Quel est ton pays, ton peuple ? » 9Jonas leur rĂ©pondit Je suis hĂ©breu et c’est le Seigneur, le Dieu qui est dans les cieux et qui a créé les mers et les continents, qui est mon Dieu. » 10Les marins furent saisis d’une grande crainte en apprenant qu’il s’enfuyait loin du Seigneur. Pourquoi as-tu agi ainsi ? lui demandĂšrent-ils. 11Que devons-nous faire de toi pour que la mer s’apaise autour de nous ? » La mer Ă©tait en effet de plus en plus dĂ©montĂ©e. 12Il leur rĂ©pondit Prenez-moi, jetez-moi par-dessus bord et la mer s’apaisera. Car c’est Ă  cause de moi que vous subissez cette grande tempĂȘte. » 13Les marins ramaient pour essayer de gagner la terre ferme ; mais ils ne rĂ©ussirent pas, car la mer se dĂ©chaĂźnait encore plus. 14Alors ils appelĂšrent le Seigneur au secours Ah, Seigneur, ne nous laisse pas perdre la vie Ă  cause de cet homme ! Ne nous rends pas non plus responsables de la mort de quelqu’un d’innocent. Car c’est toi, Seigneur, qui as agi comme tu l’as voulu. » 15Puis ils prirent Jonas, le jetĂšrent par-dessus bord, et la tempĂȘte cessa de faire rage. 16Alors ils furent remplis de crainte Ă  l’égard du Seigneur ; ils lui offrirent un sacrifice et lui firent des promesses solennelles. LUC 10 traduction NFC 25Un spĂ©cialiste des Écritures intervint alors. Pour tendre un piĂšge Ă  JĂ©sus, il lui demanda MaĂźtre, que dois-je faire pour recevoir la vie Ă©ternelle ? » 26JĂ©sus lui dit Qu’est-il Ă©crit dans notre Loi ? Comment le comprends-tu ? » 27Il rĂ©pondit “Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cƓur, de tout ton ĂȘtre, de toute ta force et de toute ta pensĂ©e.” Et aussi “Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme.” » 28JĂ©sus lui dit alors Tu as bien rĂ©pondu. Fais cela et tu vivras. » 29Mais le spĂ©cialiste des Écritures voulait se justifier. Il demanda donc Ă  JĂ©sus Et qui est mon prochain ? » 30JĂ©sus rĂ©pondit Un homme descendait de JĂ©rusalem Ă  JĂ©richo lorsque des brigands l’attaquĂšrent, lui prirent tout ce qu’il avait, le battirent et s’en allĂšrent en le laissant Ă  demi-mort. 31Par hasard, un prĂȘtre descendait cette route. Quand il vit le blessĂ©, il passa de l’autre cĂŽtĂ© de la route et s’éloigna. 32De mĂȘme, un lĂ©vite arriva Ă  cet endroit, il vit le blessĂ©, passa de l’autre cĂŽtĂ© de la route et s’éloigna. 33Mais un Samaritain, qui voyageait par lĂ , arriva prĂšs du blessĂ©. Quand il le vit, il fut bouleversĂ©. 34Il s’en approcha davantage, versa de l’huile et du vin sur ses blessures et les recouvrit de pansements. Puis il le plaça sur sa propre bĂȘte et le mena dans une auberge, oĂč il prit soin de lui. 35Le lendemain, il sortit deux piĂšces d’argent, les donna Ă  l’aubergiste et lui dit “Prends soin de lui ; lorsque je repasserai par ici, je te paierai moi-mĂȘme ce que tu auras dĂ©pensĂ© en plus pour lui.” » Comme support d’un Ă©change avec les jeunes, voici quelques pistes de rĂ©flexion Qu’en pensez-vous de ces deux textes ? Jonas Est-ce qu’on peut croire que Dieu dĂ©signe toujours la bonne personne en tirant au sort ? Le bon samaritain Quand nous rencontrons des personnes qu’on peut aider, est-ce que c’est par hasard qu’elles croisent notre route ? CrĂ©dits Marlies Voorwinden avec les catĂ©chumĂšnes de l’EPUdF de Beaucaire-Tarascon et du Pays d’Arles , sĂ©ance de janvier 2021 – Point KT
Lehasard n’existe pas! Il y a toujours une raison Ă  la situation que nous vivons mĂȘme si elle ne nous est pas rĂ©vĂ©lĂ©e. Dieu permet que des choses bonnes et des choses mauvaises nous arrivent pour que nous en tirions l’enseignement qui s’y cache. Une chose est claire, lorsque nous posons un acte sans avoir consulter Dieu. Lorsque nous entreprenons quelque chose du fait
Passer au contenu A proposVous souhaitez Ă©crire dans mon blog ou me contacter ?Mon comptePanier DĂ©couvrez l’atelierPar oĂč commencer ?Consultations privĂ©esBlog Pour mieux comprendre le fonsctionnement de votre conscience !Mes articles et lives comme si vous y Ă©tiez !Avec sĂ©ance Ă©nergĂ©tique !Sans sĂ©ance Ă©nergĂ©tique !Formations en ligne DĂ©veloppez votre libertĂ© financiĂšreLibĂ©rez-vous de vos angoisses – La guĂ©rison est en toi !Reprennez le contrĂŽle de votre vie grĂące Ă  votre mental !Comment utiliser votre sommeil pour avancerComment changer l’énergie de votre maison pour changer votre vieComment bien commencer votre journĂ©e pour la vivre pleinement Introspection Ă©nergĂ©tique Pour se Re-ConnaĂźtre Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito Bonjour les amis, Il nous arrive Ă  tous de nous investir dans un projet oĂč nous faisons tout ce qu’il faut mais les rĂ©sultats ne sont pas Ă  la hauteur de nos attentes et bien cette vidĂ©o parle de cet espace d’ombre
. Cette phrase ne vient pas de moi, c’est le gĂ©nie Albert Einstein qui l’a dit. Pour moi cette phrase reprĂ©sente deux aspects au niveaux de l’énergie Le premier aspect est que nous devons faire tout pour atteindre notre but et laissez Ă  Dieu/univers comment nous l’apporter car notre vision est bien plus Ă©troite que les possibilitĂ©s de l’univers. Donc nous devons savoir quoi, faire ce que nous pouvons mais laisser Ă  l’univers le comment . Le deuxiĂšme est cette partie des rĂ©sultats qui peuvent ne pas arriver et je m’explique. Les gens ont l’habitude de dire que si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que le rĂ©sultat arrive alors sans aucun doute il arrivera. Mais non, cela ne marche pas comme cela. Il y a aussi une possibilitĂ© que sans aucune raison apparente, ce rĂ©sultat n’arrive pas et nous n’avons aucun pouvoir de changer cela. Cette partie lĂ  de l’énergie n’est pas entre nos mains. L’univers/Dieu a ses propres raisons que nous ne sommes pas en mesure de comprendre et cela nous devons le savoir et l’accepter. Au niveau de l’énergie, nous avons la loi de cause Ă  effet qui dit qu’à chaque cause il y a un effet/rĂ©sultat donc que tout Ă  un sens et que si nous voulons changer le rĂ©sultat, nous nous devons de chercher la cause et en la changeant/transformant, nous changeons le rĂ©sultat. IL N’EXISTE PAS DE HASARD ! Mais cela dans bien des cas, cela ne fonctionne pas
 Pourquoi ? Justement dans cette partie que nous ne comprenons pas ! Cette partie oĂč nous n’avons pas accĂšs et qui ne fait pas partie de notre terrain de jeu ! Si nous ne comprenons et ne l’acceptons pas, nous crĂ©ons une rĂ©sistance au processus qui va en l’encontre de ce que nous voulons atteindre comme rĂ©sultat. Alors que faire ? Le comprendre L’accepter LĂącher prise ! et cela complĂštement ne plus faire attention au rĂ©sultat. Ce qu’il y aura
 se crĂ©era sans votre interaction. ce qu’il vous reste Ă  faire, c’est de faire ce que vous devez faire et cela du mieux que vous pouvez et c’est tout ! Je vous laisse dĂ©couvrir cette vidĂ©o avec toutes mes explications ! et je vous ai fait une petite sĂ©ance pour vous aider sur votre chemin de vie ! N’oubliez pas de me laisser vos commentaires en bas de la page et vos questions, je serais heureuse d’y rĂ©pondre ! DĂ©borah DĂ©borah Bouzaglo, est thĂ©rapeute Ă©nergĂ©tique, spĂ©cialiste du fonctionnement de la conscience. C'est la crĂ©atrice du blog et du programme "Reprenons les rĂȘnes de notre vie". Articles similaires BonjourEn quoi puis-je vous aider ?
Lehasard, c'est Dieu qui se promĂšne incognito." Albert Einstein Vingt rĂ©ponses: 2009-11-12 19:23:43 UTC Vous avez une explication pour ces 100€ c'est le pas le hasard. Mais si vous trouvez 100 € dans la rue en vous promenant, vous n'avez pas d'explication alors vous dites j'ai trouvé 100€ par hasard.pourtant il doit y avoir une
Hillary LucĂ©a – Directeur des ministĂšres personnels et de l’École du Sabbat – FĂ©dĂ©ration adventiste de la Martinique Quand vous voyez une montre, une maison, une voiture, un pont, un chĂąteau, vous pensez sans doute que c’est quelqu’un qui a fait cela, n’est-ce pas ? Quand vous voyez un avion, un gratte-ciel, un paquebot, vous louez le gĂ©nie humain et ne criez pas quel hasard ! » Vous ne dites pas non plus Ouah ! Quelle merveille tombĂ©e du ciel. » Vous croyez qu’un ĂȘtre humain en a Ă©tĂ© le concepteur. Alors pourquoi maintenant quand vous regardez le ciel, la mer, la terre, les fleuves, la lune, les Ă©toiles et le soleil, ne hurlez-vous pas gloire Ă  Dieu » ? Car si les ĂȘtres humains sont capables de rĂ©aliser toutes ces choses, ils ne les font pas Ă  partir de rien, mais utilisent ce qui existe dĂ©jĂ . Mais ce qui existe en dehors des fabrications humaines, d’oĂč vient-il ? Le Dieu crĂ©ateur C’est ici que nous vous invitons Ă  explorer la Parole de Dieu. Dans ce but, mettez de cĂŽtĂ© vos prĂ©jugĂ©s, abordez le texte biblique avec humilitĂ© et le laissez-le vous parler. Dans HĂ©breux 113, il est dit C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a Ă©tĂ© formĂ© par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas Ă©tĂ© fait de choses visibles. » Voici une dĂ©finition de la foi que je trouve explicative du passage biblique La foi dĂ©signe Ă©tymologiquement le fait d’avoir confiance en quelque chose ou quelqu’un. En gĂ©nĂ©ral, cela revient Ă  juger authentiques certains Ă©vĂšnements. Dans le domaine religieux, la foi induit souvent une dĂ©votion et des comportements censĂ©s traduire cette conviction. La foi est la condition de toute religion et la motivation de sa pratique. »1 Le verset 6 d’HĂ©breux 11 prĂ©cise Or sans la foi il est impossible de lui ĂȘtre agrĂ©able ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rĂ©munĂ©rateur de ceux qui le cherchent. » Ainsi nous voyons que l’un des critĂšres fondamentaux pour Ă©tudier la Bible est la foi. Ce qui implique de faire confiance au texte biblique ou de rester tout simplement ouvert Ă  ce qu’il prĂ©sente. Personne ne peut, ni ne doit nous obliger Ă  croire. Personne non plus ne doit nous empĂȘcher de lire l’Écriture. Avec ce prĂ©requis Ă  l’esprit, considĂ©rons la toute premiĂšre dĂ©claration de la Bible Au commencement Dieu crĂ©a le ciel et la terre. » GenĂšse 11 Dans cette dĂ©claration gĂ©nĂ©rale, le ciel dĂ©signe la voute d’azur au-dessus de notre tĂȘte, incluant l’atmosphĂšre terrestre, mais aussi l’au-delĂ , comme les Ă©toiles, le soleil, la lune et les planĂštes de notre systĂšme solaire. Pour la terre, nous entendons par lĂ  les vallĂ©es, les montagnes, les arbres, les forĂȘts, les fleuves, les riviĂšres, les sources, les animaux et les ĂȘtres humains. Dieu crĂ©a les choses visibles comme les invisibles. La Bible ne laisse planer aucun doute. Elle dĂ©voile que le ciel et la terre viennent de Dieu. C’est Ă  prendre ou Ă  laisser. A l’écoute de la Bible dĂ©clare Ici la Bible s’inscrit en faux contre toutes formes d’erreurs, tant celle de l’athĂ©e qui affirme l’inexistence de Dieu que celle du polythĂ©iste qui adore une multitude de dieux. La Bible exalte le Dieu unique et souverain. »2 Une crĂ©ation surnaturelle On peut se poser la question mais comment Dieu a pu faire tout ça ? Si nous lisons attentivement le premier chapitre de la Bible, GenĂšse 1, nous remarquerons que l’auteur, MoĂŻse, utilise la rĂ©pĂ©tition d’une locution Ă  chaque acte de crĂ©ation Dieu dit » versets 3, 6, 9, 11, 14, 20, 24, 26, 29 comme pour bien nous aider Ă  nous rappeler que c’est lui et personne d’autre. Le psalmiste, David, corrobore cette idĂ©e au Psaume 33 Les cieux ont Ă©tĂ© faits par la parole de l’Éternel, Et toute leur armĂ©e par le souffle de sa bouche » verset 6. Car il dit, et la chose arrive ; il ordonne, et elle existe » verset 9. Le prophĂšte ÉsaĂŻe rĂ©affirme aussi l’idĂ©e que Dieu est le seul Dieu et CrĂ©ateur du ciel et de la terre Car ainsi parle l’Éternel, le crĂ©ateur des cieux, le seul Dieu, qui a formĂ© la terre, qui l’a faite et qui l’a affermie, qui l’a créée pour qu’elle ne fĂ»t pas dĂ©serte, qui l’a formĂ©e pour qu’elle fĂ»t habitĂ©e Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre. » D’aprĂšs ces diffĂ©rents textes bibliques, il y a eu une volontĂ© qui s’exĂ©cute. Le Dieu crĂ©ateur qui dit et la chose existe. Ce qui voudrait dire qu’il y avait un dessin bienveillant Ă  notre endroit. Selon une source numĂ©rique, Le hasard est le principe dĂ©clencheur d’évĂ©nements non liĂ©s Ă  une cause connue. Il peut ĂȘtre synonyme de l’imprĂ©visibilitĂ©, de l’imprĂ©dictibilitĂ©, de fortune, de destin, ou liĂ© aux mystĂšres de la providence. » Selon cette dĂ©finition, le hasard est un coup de chance, de fortuitĂ© et non un acte volontaire ou dĂ©cidĂ©. Ainsi on agit au grĂ© des circonstance et non selon un plan. Lorsque l’on Ă©tudie minutieusement le premier chapitre de la Bible, on voit se dessiner une structure littĂ©raire appelĂ© un chiasme, tant que la correspondance est parfaite entre les trois premiers jours et les trois derniers jours. Le premier correspond au quatriĂšme, le second au cinquiĂšme et le troisiĂšme au sixiĂšme. Au septiĂšme jour, le sabbat trĂŽne pour couronner le tout. C’est ainsi que l’homme suit le cycle de la semaine de sept jours, malgrĂ© les tentatives infructueuses d’imposer un cycle de dix jours. Nous pouvons conclure sans l’ombre d’un doute que notre Dieu ne fait rien au hasard mais selon un plan voulu par lui-mĂȘme. Il a pensĂ© Ă  vous et moi en le concevant. Vous n’ĂȘtes pas le fruit de la chance mais de l’amour bienveillant de notre Dieu et pĂšre aimant. Hillary LucĂ©a – Directeur des ministĂšres personnels et de l’École du Sabbat 1. 2. À l’écoute de la Bible, p. 47
Lesarguments de Richard Dawkins. D’aprĂšs Richard Dawkins, les sciences, et en particulier la thĂ©orie de l’évolution, permettent d’expliquer ce que l’existence de Dieu n’explique pas suffisamment. L’un de ses ouvrages est intitulĂ© The God Delusion, traduit en français sous le titre Pour en finir avec Dieu [1].
Comment accepter un Ă©vĂ©nement qui paraĂźt sans cause? Le hasard existe-t-il, ou, sinon, faut-il croire au destin? L’alternative effraie on voudrait tergiverser, considĂ©rer qu’une action peut parfois n’ĂȘtre due qu’au hasard, et parfois n’ĂȘtre que dĂ©terminĂ©e. C’est dĂ©jĂ  considĂ©rer que les lois de la nature sont capricieuses. Mais comment les considĂ©rer sinon ? Comment prĂ©tendre Ă  la fois que les Ă©vĂ©nements rĂ©sultent de concours de circonstances imprĂ©visibles, et que l’on puisse pourtant agir en vue d’un rĂ©sultat dĂ©terminable ? Le hasard, s’il existe, est imprĂ©vu, voire imprĂ©visible. Or nous savons dans une certaine mesure de quoi l’avenir sera fait le soleil se lĂšvera trĂšs probablement demain.... Puisque l’on peut prĂ©voir certains Ă©vĂ©nements, il y a un principe actif qui organise l’ensemble des choses existantes c’est la connaissance de ce principe qui nous permet de dĂ©terminer la suite des Ă©vĂ©nements. Je peux par exemple comprendre qu’un objet tombe si je connais la loi de la pesanteur. Si tout Ă©vĂ©nement, avec les sĂ©ries de causes et de consĂ©quences qui le dĂ©terminent, est aprĂ©hensible parce que dĂ©terminĂ©, on peut dire qu’une pomme tombe d’un arbre parce qu’il Ă©tait â€œĂ©crit” qu’elle devait tomber prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč elle est tombĂ©e et comme elle est tombĂ©e. Il y a une “raison” dans le monde, consultable comme un livre ouvert dĂšs qu’on sait le lire un Ă©vĂ©nement survient parce que “c’est Ă©crit”... dans le grand livre du monde. On voudrait pourtant que le monde rĂ©ponde Ă  nos attentes, et parfois sans mĂȘme savoir si elles sont rĂ©alistes on voudrait que le monde dĂ©lire avec nous... et il paraĂźt le faire on vante les atouts du rĂȘve, de l’utopie l’enthousiaste aurait plus de chances, au point qu’il peut paraĂźtre efficace de rĂ©clamer l’impossible. On constate ce genre d’irrĂ©alisme chez les personnes les plus “dĂ©terminĂ©es”, qui prĂ©tendent que devant la force de leur volontĂ© les obstacles s’évanouissent comme par magie ils semblent ĂȘtre Ă©cartĂ©s par un destin favorable. “La fortune sourit aux audacieux”. Par exemple, une rééducatrice qui parvient Ă  des rĂ©sultats Ă©tonnants en rĂ©habilitant des “cas sociaux” devant lesquels tous baissaient les bras n’explique son succĂšs que par le fait qu’elle s’y attend. Tout simplement. Il y a comme une connivence entre l’auteur d’une action et l’univers dans lequel il agit certains paraissent avoir un ange gardien ; on dit qu’il ont de la chance ; d’autres voient les circonstances concourir Ă  leur perte on dit qu’ils s’opposent Ă  un hasard malencontreux. Dans tous ces cas, il semble que les lois de l’univers sont dĂ©terminables par une volontĂ©, comme s’il existait une entitĂ© pouvant dĂ©cider du cours des choses selon un dessein arrĂȘtĂ©. À ce stade, comment ne pas croire en la magie, ou devenir superstitieux, ou croire qu’un dieu exauce ou pas nos priĂšres? Libres donc autonomes auto-nomia qui se donne ses propres lois, nous ne devons ĂȘtre soumis ni au hasard ni au destin. Pour Ă©chapper Ă  un ordre des choses totalement dĂ©terminĂ©, il nous faut donc avoir en nous mĂȘmes un principe d’action qui nous soit propre et que rien ne commande impĂ©rativement une Ăąme, un esprit... LĂ  est le problĂšme quand nous agissons, il y a “quelque chose” en nous qui nous fait croire que notre action aura les rĂ©sultat que nous espĂ©rons. Or nous ne connaissons pas assez l’ordre des causes et des effets pour savoir prĂ©cisĂ©ment quel sera le rĂ©sultat de notre action une cause est suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est une cause, suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est cause.... et ainsi de suite Ă  l’infini ! comment s’y retrouver quand, de surcroĂźt, une infinitĂ© de causes se conjuguent ensemble et interagissent les unes sur les autres! nous agissons comme en aveugles,et nous prĂ©tendons pourtant responsables de nos actes. Il faut donc que nous connaissions assez le futur pour nous y prĂ©parer -et puisque la connaissance de la causalitĂ© s’avĂšre insuffisante, il faut que cette connaissance soit intuitive. D’oĂč des rituels qui parfois peuvent paraĂźtre dĂ©nuĂ©s de sens, mais qui ont leurs effets, aussi incroyable que cela paraisse. Un participant nous a expliquĂ© qu’enfant il avait de grosses verrues aux genoux sa grand-mĂšre lui dit que depuis toujours on se dĂ©barrassait des verrues en jetant des haricots dans la mare. Ce qu’il fit effectivement, ses verrues disparurent rapidement. Il ne renouvellerait pas l’expĂ©rience, Ă  prĂ©sent qu’il est adulte, mais il en conserve un doute persistant et si, pour une raison qui nous Ă©chappe, le fait qu’il ait jetĂ© des haricots dans une mare avait effectivement Ă©tĂ© pour quelque chose dans la disparition de ces verrues ? Rien ne le prouve, mais rien ne l’empĂȘche absolument. La premiĂšre fois que j'ai animĂ© un dĂ©bat sur ce thĂšme, c'Ă©tait au CafĂ© de Rouen, le 15 avril 1997. Au sortir de ce dĂ©bat, j'ai longuement admirĂ© le vol d'un canard, en me demandant si son vol Ă©tait une cause insignifiante pouvant avoir des effets incontrĂŽlables. J'appris, en rentrant Ă  Paris, que le PrĂ©sident Jacques Chirac avait dĂ©cidĂ© de dissoudre l'assemblĂ©e nationale. Comme par hasard ! François Housset Ă  ce propos “Quand je trouve un mĂ©canisme lĂ  oĂč j’aurais cherchĂ©, lĂ  oĂč j’aurai du rencontrer, semble-t-il, une intention, c’est ce que j’exprime en parlant de hasard” Bergson, L’évolution crĂ©atrice DĂ©finition du hasard “le concours de deux ou trois Ă©vĂ©nements contingents, chacun desquels a ses causes, en sorte que leur concours n’en a aucune que l’on connaisse” Jean de La Placette, TraitĂ© des jeux de hasard “La hasard, en dĂ©finitive, c’est Dieu.” Anatole France, Le Jardin d’Épicure. “... Il n’y a point de hasard tout est Ă©preuve, ou punition, ou rĂ©compense, ou prĂ©voyance.” Voltaire, Zadig ou la destinĂ©e, l’ermite. “Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un nom dont nous couvrons notre ignorance.” Bossuet Discours sur l’Histoire universelle, 3Ăš partie, 8Ăš chapitre. “Le hasard est le plus grand romancier du monde pour ĂȘtre fĂ©cond, il n’y a qu’à l’étudier.” HonorĂ© de Balzac, La ComĂ©die humaine, Avant-propos “L’idĂ©e de hasard est l’idĂ©e de rencontre entre des faits rationnellement indĂ©pendants les uns des autres, rencontre qui n’est elle-mĂȘme qu’un pur fait, auquel on ne peut assigner de loi ni de raison.”Cournot, TraitĂ© de l’enchaĂźnement des idĂ©es fondamentales dans les sciences et dans l’histoire. “Un hasard n’est rien pour une Ăąme froide ou distraite; il est un signe divin pour une Ăąme obsĂ©dĂ©e.” Ernest Renan, Vie de JĂ©sus, prĂ©face de la treiziĂšme Ă©dition “Il n’y a pas de hasard, parce que le hasard est la Providence des imbĂ©ciles, et la Justice veut que les imbĂ©ciles soient sans Providence.” LĂ©on Bloy, Le Mendiant ingrat, prĂ©face. Spinoza l’idĂ©e de hasard rĂ©sulte du fait que notre connaissance est imparfaite “l’ordre des causes nous Ă©chappe” au point qu’une chose peut paraĂźtre n’ĂȘtre ni nĂ©cessaire ni impossible. Éthique I, proposition 33, scolie 1. gyzh. 33 332 350 107 11 279 298 14 267

le hasard n existe pas c est dieu